Soirée de lancement Perfect Love

Oui, j’espérais que cela n’était rien je n’avais pas envie de retrouver le vrai gars, à l’intérieur de moi. Surtout je ne voudrais pas être blessé ou autre, je n’en n’avait déjà assez vécu comme cela dans le passé. Je lui fis un signe de la main alors qu’elle part. Je regarde longuement Eden, en repensant à ce qu’elle m’avait dit. Oui, j’espère qu’une personne va m’aimer mais c’est surtout si elle allait m’accepter. J’allais bien voir au file du temps, malgré que j’étais toujours aussi nerveux. Super elle devait y aller aussi bien très bien, j’allais y aller moi aussi alors. J’avais d’autres trucs à faire chez nous et j’allai surtout me reposer. Je lui souris pour ensuite m’étirer légèrement, et je regarde autour de moi. Cela avait été, une superbe rencontre tout de même avec ses deux filles.

Oui merci, j’espère de même trouver... À bientôt alors, moi aussi cela m’a faite plaisir.

Une fois qu’elle était partie, je pars alors à mon tour mais vers la sortie. Une fois, cela, fait je rentre alors chez moi.



@Victoria A. Miller  @Eden S. Garrison (fini)

Plus les minutes passaient, et plus il se demandait ce qu'il faisait encore ici. Si bien qu'une fois la vidéo vue et revue, et encore revue, s'était finie, il s'était relevé pour aller se chercher de quoi manger, avant de vite fait bien fait partir comme un voleur. Enfin, c'était avant de se faire remarquer par un binôme qui le regardait étrangement. Il n'avait pas su resister. Il s'était approché, loin de s'imaginer qu'il connaissait la jeune femme qu'il n'avait, de prime abord, pas reconnue. « Oui, c'est bien moi. » dans le fond, il était légèrement surpris de se trouver reconnu par quelqu'un. En la scrutant, en cherchant les détails de son visage, il reconnaissait, en effet, un vague souvenir dont il n'aurait pas su retrouver la provenance sans ses paroles. « Oh mais oui ! Votre visage me paraissait familier, maintenant je comprends mieux. » dit-il, le visage soudainement illuminé, avant de s'assombrir. « En revanche, vous avez raison, je ne me souviens que partiellement de vous, j'en suis navré. » Il tourna la tête vers l'homme vers qui elle se tournait, qu'elle lui présentait. Il lui offrit un sourire et un hochement de tête avant de lui tendre sa main pour serrer la sienne. « Enchanté. » dit-il, avant de les regarder tour à tour. « Merci. Enfin, je crois.. » fit-il en plissant les yeux. Il pencha légèrement la tête comme réponse à "un homme à votre bras" et se contenta de sourire, avant de reprendre. « Professeur de lettres historiques et philosophiques. Un grand mot pour dire professeurs de littérature, tout simplement. Je n'ai pas de souvenirs précis de vous en tant que mauvaise élève, ce sont notamment ceux là que je retiens le plus facilement. » fit-il en se tournant vers la jeune femme.
Il regarda rapidement autour de lui, un peu mal à l'aise. il soupira, avant de faire revenir vers eux son regard, et de hausser les épaules, un peu mal à l'aise. Il glissa ses mains dans ses poches, et tenta de faire mine que le sujet ne le dérangeait pas. « Alors, vous voulez vous inscrire sur cette application ? Vous croyez que tout ce dont ils parlent peut réellement se produire. Que nous sommes soumis aux règles d'un algorithme ? » dit-il d'un ton qui cachait très convenablement son scepticisme.

@Zayan Baashir @Anna Holly Douglas

HJ:

@Zayan Baashir  @Marvin Harper (T'en fais pas, prend le temps qu'il te faut pour répondre )

Les applaudissements par centaine que James espérait entendre après avoir lancé le mouvement n’arrivent jamais, faisant de lui le pauvre crétin qui vient d’interpeller le Président alors que personne ne lui a rien demandé et qui applaudit tout seul comme un très, très gros idiot au fond de la pièce. Jayden n’a pas l’air très motivé à l’aider à sortir de là, alors l’informaticien réalise que tout est fini pour lui. Il doit rester là à supporter les regards hautains, moqueurs ou incrédules posés sur lui. Il arrête d’applaudir, essaye de cacher sa déception et manque de pleurer de joie quand de la foule, se détache la silhouette d’Eden. La jeune femme ne sait pas qu’elle a bien failli être humiliée publiquement, auquel cas elle ne viendrait sans doute pas à la rescousse de son mari avec autant de naturel. James ne se souvient pas d’avoir été déjà à ce point ravi de la voir et pour le prouver, il lui offre un grand sourire avant de la prendre brièvement dans ses bras pour la serrer contre lui, chose qu’il n’a jamais fait non plus. “Laisse-moi d’abord te présenter mon ami !” lance-t-il quand il la libère, se contentant de garder une main sur son bras. “Il s’appelle Jay et c’est un Caste 3 !” explique-t-il fièrement alors qu’il désigne l’homme d’un geste du menton. “Jay, c’est Eden. Ma femme !” Il hoche la tête d’un air entendu, comme si les deux hommes partageaient un genre de blague à l’égard d’Eden, mais n’ajoute rien, miracle !

“Bref, on y va alors ?” Il n’est vraiment pas contre une nuit de sommeil. Sa tête tourne et il envisage sérieusement de retirer sa veste et sa chemise, alors même que sa cravate pend toujours lâchement sur ses épaules. “Merci, vieux !” dit-il en tapotant le bras de Jay alors qu’il passe devant le tatoueur, entraînant Eden avec lui vers la sortie. Il a presque l’impression de sentir tous les regards les suivre l’un et l’autre jusqu’à la porte, ce qui n’aide pas trop le sentiment de manquer d’air qui lui colle à la peau depuis un petit moment.

@Jayden Reed @Eden S. Garrison

@James A. Garrison @Jayden Reed

Ça devait être un excellent discours, se dit Jay en observant la sortie de James, un air atterré plaqué sur le visage. Doit-il se sentir responsable ? Sans doute. Se sent-il réellement responsable ? Pas vraiment. La pointe de culpabilité qu’il ressent en voyant son client se taper l’affiche s’évapore vite lorsqu’il aperçoit la jeune femme qui le rejoint, jeune femme qu’il ne peut s’empêcher de jauger d’un œil appréciateur malgré le regard outré qu’elle lui lance. Cachottier ce James, songe Jay avant de se faire présenter en des termes qui lui font à son tour arquer les sourcils « Ouais, de même. » répond-t-il à l’intention de la femme, Eden donc, la gratifiant d’un sourire aimable qu’elle ne mérite pas. Il louche vers James, et acquiesce sagement en recevant l’annonce, qu’il commente d’un petit « pas mal ! » tout à fait innocent et tout à fait déplacé. Elle a l’air pressée de partir après l’amorce de scandale, et Jay se demande brièvement si le comportement de mari risque d’être signalé, avant d’hausser les épaules lorsque ce dernier vient lui tapoter le bras « De rien ? » souffle-t-il en les regardant s’éloigner, se demandant s’il a déjà croisé dans sa vie un couple aussi bien assorti. Il se mordille la lèvre inférieure, fait un doigt d’honneur à un type qui l’observe avec un peu trop d’insistance, et prend à son tour le chemin de la sortie en imaginant pour lui-même une version parfaitement fantasmée du discours du président. S’il a toujours les yeux injectés de sang, il a l’habitude d’être défoncé, et c’est sans trop de mal qu’il fend la foule encore présente pour atteindre les portes qui mènent à l’extérieur. Tout ça pour rien, songe-t-il avec une pensée pour Jake qui attend sûrement fébrilement son retour afin d’obtenir des informations fraîches. Et un sourire lui étire lentement les lèvres.