A day like no other in a park ~ James A. Garrison

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Mark Kaczynski Life is amazing so never hide behind it

	A day like no other in a park Par une belle journée, j’avais décidé de me rendre en autobus en ville. Cela faisait déjà plusieurs heures que je me promenais dans ce parc. J’observais ses paysages et ses fleurs autour, je ne me tannais pas. Cela faisait changement du paysage que j’avais chez moi. J’aimais bien venir ici, pour me reposer tranquillement en silence et de penser à de beaux événements. Ou bien enfin essayer car aujourd’hui, je me sentais plutôt bas. Même si je semblais heureux à l’intérieur, je ne l’étais pas tellement. Après un moment de marche, je décide de me reposer un peu. J’allais alors m’asseoir seul. Je regarde longuement le ruisseau qui était devant moi. Je regarde du même coup, quelques passants. Je me demandais bien, ce qu’ils pensaient de nous ici dans cette partie de la ville. Je prends alors mon portable dans mes mains, pour ensuite regarder quelques trucs dessus. Je soupire en voyant une photo de mon ex. Je me demandais si je n’aurais pas eu de problème si elle serais resté avec moi. Sûrement, car je l’aimais tellement mais elle cela n’avait pas tellement eu l’air de cela. Vu qu’elle m’a traité comme une poubelle si on pouvait dire ainsi. Je me lève alors pour ensuite courir un peu dans le parc. Cela allait me faire du bien, je crois bien surtout par ce beau temps. Soudainement, je me prends solidement un arbre je me jette au sol en douleur. Pourquoi il était dans mon chemin celui-là. Là, j’aurais l’air d’un con si quelqu’un me voit ainsi en douleur. J’espérais juste que cette douleur parte rapidement, car je ne voudrais pas l’avoir pour le restant de la journée. J’aperçois alors un gars qui semblait venir vers moi, il ne manquait plus que cela.
Posté Ven 11 Oct - 20:07

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James A. Garrison ❝ Robots are people too ❞ Administrateur

	A day like no other in a park Mark & James Il est encore tôt quand James arrive aux Jardins d’Alexandria, l’endroit est presque désert à l’exception de quelques joggers motivés à commencer la journée par un peu d’exercice. Le grand parc est immense, à tel point que le jeune homme perd deux bonnes heures à s’enfoncer de plus en plus dans ses entrailles, là où les arbres plantés par l’homme sont si denses qu’on se croirait dans une vraie forêt, du style sauvage et naturelle comme James n’en a jamais vu de son vivant. Il est déjà venu plusieurs fois dans ce parc. Sa mère les y emmenaient, lui et sa soeur, quand ils étaient enfants. Il y vient encore de temps en temps, pour s’éloigner un peu de la ferveur de la ville et de la pression de sa vie quotidienne. C’est un endroit incroyable, qui lui permet toujours de se calmer. Il était en pleine crise d’angoisse quand il a trouvé pour la première fois, la petite clairière dans laquelle il s’installe ce matin, au coeur du parc. L’endroit plongé dans le silence l’a calmé ce jour-là et lui a finalement donné le temps de réfléchir et de trouver la solution pour mettre fin à toutes ses peines. Le grand jour, c’est aujourd’hui. Le jour où il ne souffrira plus jamais. Ses jambes tremblent et honnêtement, James a peur, mais il sait que tout ira bientôt mieux, alors il s’asseoit sur un petit banc de pierre et ferme les yeux. Après quelques grandes inspirations qui parviennent à le détendre, il sort sa main gauche de sa poche et, fermement serrée dans son poing, l’arme à feu qu’il a acheté à Jay quelques semaines plus tôt. Ses doigts tremblent encore plus que ses jambes, mais il observe quand même le pistolet avec attention, un mélange de crainte et d’admiration dans les yeux. C’est cette chose qui va le libérer. Il ira en Enfer, mais il y allait quoi qu’il arrive, alors… Doucement, James lève l’arme dont il pose le canon contre sa tempe. C’est froid, étrange et ses mains tremblent tellement qu’il n’est pas sûr de pouvoir appuyer sur la détente. Il ferme les yeux et se force à respirer tranquillement, tout en récitant à voix basse et précipitée un “Je vous salue, Marie” en boucle. Il est sur le point d’appuyer quand un cri lui fait brusquement ouvrir les yeux. La panique l'envahit tout de suite, certain que quelqu’un l’a vu, que quelqu’un va se jeter sur lui pour l’empêcher de commettre cet acte impardonnable, mais non. Tout ce qu’il voit, c’est un homme couché sur le sol à quelques mètres de là. Il a l’air de souffrir et c’est soudainement tout ce qui importe James, qui baisse son arme et se lève avant d’y réfléchir réellement. Le pistolet est toujours dans sa main quand il approche de l’homme et qu’il lui demande, inquiet : “Tout va bien, monsieur ?” Il ne pense pas une seule seconde que ce n’est pas forcément une bonne idée de s’approcher d’un inconnu une arme à la main, il ne pense pas à grand chose à vrai dire. “Vous avez besoin d’aide ? Vous voulez que j’appelle les secours ?” offre-t-il, gentil et aimable, même quand la panique et l’ombre d’un sanglot s’entendent dans sa voix.
Posté Dim 13 Oct - 20:13

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	A day like no other in a park Je regarde alors l’homme qui me parle non ça va, je vais m’en sortir seul. Oui, je crois que j’allais bien. Je remarque alors son arme, je me recule et je fixe celui-ci d’un regard froid. Je repensais à toutes les fois, que j’avais utiliser ou vu une arme. Je tremble d’un coup en revoyant ses images, quand mes parents se sont fait tuer. Du même coup le son de l’arme qui a été utilisé résonnait dans ma tête. Je finis alors par me lever difficilement, je me recule légèrement. Je me demandais ce qu’il fait avec cette arme. Je sentais que mon vrai côté voulait refaire surface, mais je ne devais pas céder. Visiblement, je l’avais inquiété mais visiblement, il semblait assez gentil. C’était déjà cela, je l’observe attentivement et je le fixe du regard. Oui, je crois que je vais m’en sortir je me suis pris un arbre. Toi ça va ? Je te demanderais bien, d’enlever cette arme de ma vue cela serait mieux pour moi. Je me demande si il saurait ma classe, s’il saurait aussi clément avec moi. Mais j’allais me taire, vue que déjà cela commençait à bien se passer. Je travaillais ce soir, au EVILICIOUS NIGHT CLUB. Alors, j’avais tout mon temps aujourd’hui pour être en ce magnifique lieu. Je marche soudainement, d’une démarche tout de même assez boitante d’un coup. Cela allait me faire du bien de marcher un peu. Je regarde autour de moi pour ensuite regarder vers celui-ci. J’étais vraiment silencieux d’un coup, je l’aimais bien pour tout dire. Je me demandais bien, ce à quoi pouvait ressembler leurs maisons à ceux d’ici. Cela était sûrement, mieux que les nôtres. J’aimerais bien un jour habiter ici, mais pour le moment, je ne pouvais pas. Tu faisais quoi ici moi, je venais profiter de ce bel endroit... Je sens aussitôt des regards sur moi, je deviens aussitôt froid. On voyait bien d’un coup que je n’étais plus trop là. Mes parents auraient bien aimé ce genre d’endroit. Bon là je pensais trop à mon passé d’un coup, je m’éloigne légèrement pour ensuite hurler en colère. Mais je reviens aussitôt très calme vers celui-ci. Je le regarde d’un regard désolée, il fallait vraiment que ce poids sors d’un coup. J’espérais qu’il n'allait pas décider à me fuir après ce moment. Car cela n’était pas une très bonne idée pour moi. Je me demandais bien comment il pouvait s’appeler, j’allais le lui demander. Je regarde droit devant moi d’un coup. Pour ensuite lui faire dos et je dis alors, d’un ton terriblement froid. Je m’appelle Mark et toi ?
Posté Mar 15 Oct - 3:09

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	A day like no other in a park Mark & James L’inconnu auquel James tente de venir en aide à un mouvement de recul qui surprend le jeune homme. Il se fige, ose à peine respirer, alors que l’angoisse commence à monter doucement. Quelques secondes passent dans un silence pesant auquel l’homme se décide à mettre fin lorsqu’il affirme à James qu’il va bien et lui demande au passage de pointer son arme ailleurs. L’arme, bien sûr… “Oh… Désolé, c’est…” Il ne termine même pas sa phrase tellement il se sent stupide et s’empresse plutôt de remettre la sécurité et de ranger le flingue dans sa poche. La crosse dépasse encore un peu, mais c’est toujours un peu moins menaçant comme ça. James n’est pas vraiment en état de sembler menaçant, de toute façon, tant il rougit, honteux et mal à l’aise de la situation. Si James est habitué à ce qu’on le considère comme quelqu’un d’étrange, il se demande comment ses détracteurs qualifieraient ce type, quand il semble prêt à faire la conversation avec un inconnu qui vient de foncer vers lui une arme à la main. Encore un peu secoué de ce qu’il s’apprêtait à faire, l’ingénieur n’est cependant pas trop en état de porter un vrai jugement de valeur ou de se demander s’il a raison de rester là. Le pire qui puisse arriver, de toute façon, c’est que cet homme essaye de lui faire du mal et il a de quoi se défendre. Ce ne serait pas un drame s’il ne sortait pas vivant de ce parc, que ce soit sa faute ou celle d’un autre. “Je voulais être tranquille.” répond-il, clairement la tête ailleurs. Son interlocuteur n’a pas l’air beaucoup plus concerné par la conversation et quand il s’éloigne et se met à hurler soudainement, c’est au tour de James d’avoir un mouvement de recule. Inconsciemment, il plonge la main dans sa poche et referme ses doigts sur la crosse de l’arme, juste au cas où il faudrait vraiment qu’il se défende contre l’inconnu. Pourtant, quand l’homme revient, c’est comme si rien ne s’était passé et il se présente avec une simplicité déconcertante qui laisse James sans voix quelques secondes. “Euh… Jamie... James.” souffle-t-il, perdu. Il ouvre de nouveau la bouche, prêt à se présenter entièrement, prénom et nom et même serrage de mains avant de se raviser aussitôt. Pas besoin que ce type en sache trop. Pour l’instant, il n’a pas trop l’air de se soucier du pauvre mec qui se balade avec un flingue sur lui, mais on ne sait jamais. “Vous êtes sûr que tout va bien ? Vous m’avez l’air… Secoué.” C’est la manière la plus polie qu’il ait trouvé de décrire ce qu’il ressent vraiment en ce moment. “Vous ne voulez pas vous asseoir une seconde et… Je ne sais pas… Vous calmer, m’expliquer ce qui se passe.” Il est peut-être trop gentil, peut-être même complètement idiot. Ou peut-être qu’il voudrait simplement qu’un jour, quelqu’un voit combien il souffre et s’arrête une seconde pour lui demander s’il a besoin d’aide, lui aussi.
Posté Jeu 17 Oct - 15:54

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	A day like no other in a park C’était bon, il l’avait rangé ne revenons pas dessus cela, c’était mieux ainsi pour ne pas que mon vrai côté surgi d’un coup. Il voulait être tranquille tien, il avait quelque chose de lourd à porter tout comme moi j’allais le savoir très bientôt. J’avais sentie quand je m’étais emporté qu’il avait eu sa main près de la crosse, une chance qu’il n’avait pas été plus loin. Mais je pouvais comprendre, que je lui avais fait peur en même temps. Il s’appelait donc Jamie très bien, j’allais le retenir. Mais bon voilà qu’il s’inquiète de mon état, il était sérieux il avait vue que je m’étais emporté et il me demande si tout va bien. Je soupire pour ensuite, m’asseoir au sol et je m’allonge aussitôt sur le dos. Bon, je pensais à mes parents qui sont mort devant moi à mon frère et ma sœur. Aussi à mon ex, qui m’a traiter comme une poubelle et également mon passé dans ses gangs en quelque sorte. Je le fixe aussitôt de mes yeux verts et je le regarde d’un regard glacial. Non cela ne va pas bien, j’ai eu un passé dans ses gangs de rues. En plus de voir mes parents, mourir devant mes yeux à cause d’une arme. D’avoir mon frère et ma sœur loin de moi. Mon ex qui m’a attrapée et emprisonner, je suis tombé amoureux d’elle ensuite et elle m’a jeté là. Je l’aimais tellement cette fille, mais à cause de moi apparemment il y a plus rien entre nous. Voilà, je m’étais légèrement assez allé pour tout dire il pouvait s’imaginer bien des événements dans mon passé maintenant. Je viens aussitôt passer une main dans mon visage, pour ensuite m'asseoir. Si du moins il avait vécu un passé semblable aux miens, il comprendrait ce que je vivais actuellement. Cette douleur qui allait sûrement rester en moi, pour toujours. Mais j’espère qu’une personne sera la guérir, en venant dans ma vie un jour. Toi, il t’arrive quoi? Viens assis toi, c’est le temps de tout faire sortir maintenant... Je le regarde longuement et je souris, pour ensuite regarder droit devant moi. Je sens malgré moi des larmes couler sur mes joues, je me sentais vraiment pas bien d’un coup. Mais je devais rester fort pour être là, pour mon ami si on pouvait dire cela maintenant. Je viens aussitôt, passer une main dans mon dos sur mon tatouage. Pour ensuite venir la mettre aussitôt, sur ma hanche qui n’était pas blessée. Je me demandais bien, ce qu’il pouvait faire dans la vie dans cette ville. Sûrement, un emploie plus payant que les miens surtout que les miens attirent un peu trop les filles à mon goût. Mais j’aimais bien faire, ce que je faisais malgré tout. Je regarde autour de moi ici, je trouvais d’un coup que cela était un bel endroit pour dessiner. C’est décidé alors la prochaine fois, j’allais m’apporter quelques trucs pour dessiner ici. J’aurais tellement aimé être riche dans le passé, cela devait être bien leur maison.
Posté Sam 19 Oct - 4:15

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	A day like no other in a park Mark & James Si James n’est pas l’homme le plus sain d’esprit au monde, il vient de se trouver un nouvel ami qui l’est sûrement encore moins. Il essaye de faire bonne figure, parce que c’est comme ça qu’on l’a élevé, mais plus il passe de temps près de ce type, plus il se sent effrayé. C’est pourtant lui qui est armé, n’est-ce pas ? C’est à lui d’être l’homme menaçant ici, pas à cet inconnu qui semble seulement très… Malheureux et perturbé. Ce que James peut parfaitement comprendre, même si ses problèmes n’ont vraiment rien à voir avec ceux que ce Mark lui raconte. Ça n’empêche pas le jeune homme de lui lancer un regard compatissant. “Je suis désolé pour vous.” souffle-t-il et il est sincère, quand bien même tout ça est vraiment étrange. Il finit même par s’asseoir par terre à côté de Mark quand ce dernier le lui demande, bien qu’il ne comprenne pas bien pourquoi il fait ça. Il tient toujours l’arme dans sa poche, juste au cas où et lève le regard vers l’homme assis près de lui qui, après lui avoir raconté toutes les horreurs qui bercent sa vie, s’attend maintenant à ce qu’on rende la politesse. James l’envie un peu, il aimerait pouvoir tout balancer comme ça, d’une seule traite, à un parfait inconnu. Il ne sait pas comment faire, n’a jamais su. “C’est gentil, mais je vais bien.” ment-il donc. C’est le même mensonge tous les jours, depuis des années, ce mensonge qu’il se répète en attendant le jour où il deviendra réalité. “J’avais juste envie d’être un peu seul, au calme.” Il continue de se justifier et c’est peut-être inutile, après tout il ne connait même pas cet homme, alors pourquoi devrait-il lui rendre des comptes ? Rien de tout ça n’explique ce qu’il fait avec une arme et James ne sait même pas si l’homme l’a vu pointer cette même arme sur sa propre tempe ou pas. Il ne sait pas s’il perd son temps à mentir, mais il continue, car c’est tout ce qu’il sait faire. “Je suis vraiment désolé pour tout ce que vous avez traversé, mais je suis sûr que ça ira mieux un jour ou l’autre. Dieu nous met sans arrêt à l’épreuve, mais il ne nous fait jamais de mal en vain.” souffle-t-il, son regard rivé droit devant lui. Il y a une telle conviction dans sa voix que c’en est presque affligeant. “Je ne sais pas quel est son plan pour nous, mais il en a un et tout ce qu’on doit faire, c’est tenir bon jusqu’à ce que tout rentre dans l’ordre.” Ce serait tellement plus simple s’il pouvait savoir ce que le Seigneur attend de lui, mais il continue de croire qu’avec de la patience et du courage, il comprendra un jour ou l’autre. Parler de ces choses là à un parfait inconnu en plein milieu d’un parc n’est peut-être pas l’idéal, mais la seule chose dont James n’ait pas honte, c’est bien ce en quoi il croit et il ne voit pas pourquoi il ne pourrait pas partager l’apaisement que lui apportent ses convictions avec ceux qui en ont besoin.
Posté Jeu 24 Oct - 11:29

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	A day like no other in a park J’avais rarement vu ce regard compatissant qu’il m’avait lancé, je souris légèrement. Cela m'avait vraiment faites , quelque chose à l’intérieur de moi. Je le regarde alors qu’il était désormais à mes côtés, je me demandais bien si j’allais bien m’attendre auprès de lui. Pour le moment, tout semble bien se passer cela commençait bien. D’accord, il allait bien et il avait une arme cela était bien s’il ne voulait pas en parler. Mais encore j’avais tout balancer et celui-là voulait garder ce qui se passe pour lui, je me sentais assez mal d’un coup. Je l’observe d’un regard, qui voulais tout dire à son mensonge. Mais si il disait qu’il allait bien, c’était le principal après tout. D’être seul quand on allait mal cela était parfois le pire des choix, car on pouvait tout faire en n’étant seul. Mais heureusement que je l’avais rencontré, mais j’étais assez dans le même état d’esprit que lui actuellement. D’accord mais si jamais tu veux en parler un jour, je serais là... Tu fais quoi comme travail dans cette ville ? Je me mords la lèvre à ses paroles j’espère que cela irait mieux. Surtout, j’espère trouver une personne, qui allait m’accepter comme je suis. Il avait raison mais parfois, il me fait du mal. Je regarde longuement le ciel et je baisse le regard d’un coup. Oui on devait tenir bon, jusqu’à temps que cela rentre dans l’ordre. Je souris légèrement pour ensuite le regarder, je viens soudainement mettre une de mes mains sur son épaule. Tu as raison on dois tenir jusqu’au bout mais parfois, c’est difficile. Surtout quand on n’a pas d’amis auprès de nous, je ne vis pas dans de belles conditions non plus cela aide pas. Je me demandais bien quoi faire maintenant et où aller, je regarde autour de moi. Je me demandais si il avait des amis sûrement plus que moi, je dirais. Je gémis d’un coup alors que je viens me plier en deux. Cette douleur du à mon jugement mal calculé, refit surface alors pour la première fois depuis le temps. C’était vraiment pas agréable, je devais penser à autre chose pour ne pas me ridiculiser. Je me mords la lèvre pour ensuite, le regarder rapidement et je m’allonge aussitôt sur le ventre. J’allais devenir fou, si cette douleur ne partait pas. Je tremble aussitôt, pourquoi ma vie a été gâchée par toutes ses événements. Mec, je sais que tu ne peux rien faire mais je veux au moins ma sœur et mon frère à mes côtés ! Je ne supportais pas qu’ils étaient loin de moi, je voudrais tellement passer du temps avec eux. Rire avec eux et les revoir car là, ils étaient trop loin de moi. Je ne supportais pas la façon qu’ils m’avaient quitter. Je soupire pour ensuite, m’asseoir et je viens mettre mes jambes contre moi. J’avais assez chaud d’un coup, alors je retire soudainement mon haut.
Posté Ven 25 Oct - 5:28

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	A day like no other in a park Mark & James Un court, très court instant, James lève les yeux vers l’homme à ses côtés et hésite vraiment. Il n’a jamais dit la vérité à qui que ce soit et voilà que cet inconnu offre de l’écouter et qu’il en a vraiment envie. Juste pour voir ce que ça fait, de prononcer les mots à haute voix et de regarder la réaction sur le visage de quelqu’un. Sauf qu’il ne connaît pas ce type et qu’il n’a qu’à sortir son téléphone pour connaître l’identité de James et détruire sa vie. Quelques signalements, des points de citoyenneté en moins et voilà que le fils prodige perd son travail, sa femme, tout le reste. Non, il ne peut pas parler à cet inconnu, qu’importe qu’il ne lui donne pas l’impression d’être le genre à aller balancer des infos pour son propre profit. “Je… Je suis informaticien.” souffle-t-il à la question de l’homme, se gardant bien de préciser qu’en réalité, il travaille pour le Gouvernement, qu’il est un haut fonctionnaire et qu’il emmagasine pour le compte de l’Etat chaque petite information concernant absolument tous les habitants de cette ville. C’est le genre de détail qui vous fait gagner des ennemis plutôt que des amis. De toute façon, son nouvel ami semble aller vraiment mal et ses propres problèmes le préoccupent bien plus que James. Il est triste, peut-être plus que ça et James ne sait pas vraiment comment l’aider, c’est impossible. Il n’a que des choses très pragmatiques à dire. “Vous vivez en Caste 3, pas vrai ?” demande-t-il, timidement, même s’il n’a pas vraiment besoin que l’homme confirme pour le savoir. “C’est possible de changer ça, vous savez ?” James est le parfait petit soldat de The Alternative et il s’apprête à le prouver, qu’importe qu’au fond de lui, il sache que le système pour lequel il a voué toute sa vie n’est pas si parfait, il est toujours le premier à en faire la publicité. “Le Gouvernement laisse sa chance à tout le monde, tout ce qu’il faut, c’est faire de son mieux. Je suis sûr que vous en êtes capable.” Il tente un sourire rassurant, mais n’est pas convaincu que ce soit vraiment ce qui passe sur son visage. “Soyez la meilleure personne possible, gagnez des points, devenez un Caste 1 et vous pourrez faire venir votre famille ici, pour vivre avec vous plutôt que de les laisser dans un bidonville. Vous pouvez y arriver, Mark. Je le sais parce que j’ai réussi moi, je suis né en Caste 2 et aujourd’hui je suis… Aujourd’hui, c’est totalement différent.” Il ne lui dit pas qu’il est un Caste 0, pas après qu’il ait si soigneusement caché où il travaille réellement, mais il n’en reste pas moins convaincu que, sans aller jusqu’au sommet du système, cet homme peut aller loin s’il s’en donne la peine. C’est vrai que ce n’est pas simple, il ne le sait que trop bien, mais s’il a réussi malgré tout, alors tout le monde le peut, n’est-ce pas ? C’est l’une de ces choses auxquelles James croit de tout son coeur, peu importe qu’on le trouve ridicule quand on l’entend en parler.
Posté Mer 30 Oct - 10:59

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	A day like no other in a park Ha tien informaticien, c’était bien mieux que mes deux travaux en faite cela devais payer quand même plus cher, je dirais. Malgré que j’aimais déjà bien, ce que je faisais cela était le plus important. Malgré que je devais, moi-même bien vivre vu les conditions dans lesquelles j’étais. C’était parfois difficile, alors je devais gagner assez d’argent pour du moins me nourrir et tout. C’est bien moi, je suis sauveteur à la plage et videur dans une boîte de mon quartier... J’étais toujours assis et j’écoutais ses paroles, je me mords la lèvre d’un coup. Oui effectivement, j’étais bien en caste 3 nous étions sûrement facile à reconnaître pour tout dire visiblement. Oui, je le savais un peu même si je ne l’espérais pas trop que cela va fonctionner. Oui, j’espérais que j’allais être capable. Je souris légèrement, c’est tout ce que je voulais avoir une meilleure vie. Je l’écoute attentivement et je baisse le regard à ses paroles. Oui, je pouvais y arriver je ne devais pas désespérer. Oui, je suis bien en caste 3 j’espère que pour toi tout va bien aller. Mais oui je, dois faire de mon mieux pour réussir. Je veux avoir une maison et ma sœur et mon frère, aussi une personne à aimer et peut-être une famille également. Je me lève aussitôt, pour ensuite remettre mon haut et je baisse le regard. Je regarde autour de moi pour ensuite, le regarder d’un regard légèrement vexé et froid. Je crois que je l’aimais bien celui-là il allait être sûrement être un de mes amis, je dirais. Je gémis d’un coup légèrement très bien, j’avais envie de pisser d’un coup mais je ne pouvais aller nul part. Alors visiblement, je devrais attendre surtout que ce parc était assez achalandé. Je marche tranquillement autour de lui. Pour ensuite le regarder, d’un regard assez pensif d’un coup. Je me demandais bien ce qu’il allait me dire maintenant. Visiblement lui non plus n’a pas une vie facile, mais je décide de ne pas lui en parler pour le moment. Déjà qu’il semblait assez préoccupé par mon état, je ne devais pas en rajouter plus. Je reviens vers celui-ci, je le regarde longuement. Je me demandais bien, si il avait une personne qu’il aimait lui. Alors si c’était le cas, il n’es pas seul comme moi. J’espère me trouver rapidement des amis ici et la personne que j’aime. Mais cela va être difficile pour celle que j’aime, car je sais déjà que cela ne fonctionnera pas. J’ai un problème disons, que je ne contrôle pas vraiment alors c’est difficile de se faire accepter ainsi... Je deviens assez rouge d’un coup, pour ensuite me mordre la lèvre. Non mais pourquoi j’avais dit cela, je me sentais terriblement nul et mal. Je le regarde d’un regard vraiment embarrassé. Pour ensuite soupirer non, mais c’était bien la première fois que je me confiais ainsi pour ce problème. J’étais encore assez gêné pour tout dire, je n’osais plus trop le regarder.
Posté Jeu 31 Oct - 22:09

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	A day like no other in a park Mark & James C’est presque rassurant, d’entendre une autre personne qui veut simplement la même chose que James : une vie heureuse, une famille, quelqu’un a aimer vraiment. N’est-ce pas ce qu’ils veulent tous ? C’est pour ça que The Alternative s’en sort si bien dans les sondages, car il ne propose rien de plus que ce rêve très simple accessible à tous. Pourtant, alors que James se prend à espérer que tout ça soit aussi simple, ce n’est pas vraiment le cas de l’homme avec qui il discute. Ce Mark n’a aucun espoir, vraiment aucun. James a été élevé de façon très stricte et ce n’est pas son genre de se montrer indiscret. Il semble pourtant évident que cet homme a besoin de parler, de se confier, mais ce n’est pas envisageable pour l’informaticien de lui poser plus de questions personnelles, de mettre son nez dans des affaires qui ne le regardent pas. “Vous ne croyez pas qu’on a tous une âme soeur quelque part dans ce monde ?” demande-t-il simplement. C’est une question que James se pose souvent, mais à laquelle il prie très fort pour que la réponse soit non. Tout simplement parce qu’il sait, de toutes les fibres de son corps, qu’Eden n’est pas son âme-soeur. Que lui reste-t-il, alors ? Et s’il rencontre un jour son grand amour, ne serait-ce pas pire que tout ? Heureusement, il n’est pas question de lui aujourd’hui. Il est face à un homme qui a besoin d’aide et son coeur lui dicte de faire tout ce qu’il peut pour lui apporter son soutien, même si, quelques minutes plus tôt, il vivait sa propre crise existentielle et que personne ne s’arrête jamais pour l’aider à la régler. “Peut-être que vous n’avez tout simplement pas encore rencontré la bonne personne.” dit-il, même si son ton manque de conviction. “Je ne sais pas quel est ce problème que vous ne pouvez pas contrôler, mais s’il y a bien une chose que la vie m’a appris, c’est que la volonté est le plus important.” Les mots sonnent faux à ses propres oreilles. La volonté ne l’aide pas tellement, la preuve il allait commettre un crime impardonnable aujourd’hui. Mais il essaye de se rappeler que c’est lui qui échoue, pas le Seigneur qui l’a abandonné. “Il y a des choses que j’ai du mal à contrôler, moi aussi.” souffle-t-il, timidement. “Des pensées dans mon crâne… Je sais que c’est mal, mais parfois je ne peux pas les empêcher d’être là. Il faut essayer quand même, c’est la seule solution.” Il pourrait aussi succomber. Il y pense de plus en plus, ces temps-ci, mais... Il n’y a pas de retour en arrière possible s’il fait ça, pas vrai ? Et il ne peut pas donner ce conseil à quelqu’un d’autre, c’est mal. “Vous avez déjà pensé à voir quelqu’un pour vous aider ?” demande-t-il plutôt, car c’est ce qu’il fait et qu’il ne connaît pas de meilleure solution. “Le prêtre de ma paroisse m’aide parfois, à tenir le coup.” explique-t-il, même si quelque chose lui dit que cet homme n’est pas le genre catholique convaincu. “Peut-être que vous pourriez trouver quelqu’un aussi. Un médecin ou un homme de foi, je ne sais pas. C’est normal d’avoir besoin d’aide parfois, il n’y a pas de honte à demander.”
Posté Sam 9 Nov - 19:46

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Mark Kaczynski Life is amazing so never hide behind it

	A day like no other in a park Oui, je pouvais bien y croire mais je ne sais pas elle était où mon âme sœur. J’espère la ou le trouver rapidement et surtout, que cela soit la bonne pour une fois. Car je ne sais pas comment j’allais supporter un autre échec, cela me faisait assez peur pour tout dire. Je ne sais pas trop peut-être bien ? Oui, je croyais l’avoir rencontré, je l’aimais tellement. Mais oui si elle m’a jeté pour ce problème cela n’était peut-être pas la bonne finalement. Oui, si je voulais régler ce problème, je le pouvais sûrement. Mais vu la gravité de celui-ci, je ne sais pas cela me m’était assez mal. Mais si je n'avais pas le choix, je devais essayer après tout. Je regarde droit devant moi, je me demandais si je devais lui confier cela ou non. Je me mords la lèvre pour enfin me décider de lui dire, mais j’allais attendre un peu. Je le regarde légèrement et je l’écoute attentivement, il avait raison. Peu importe le problème, fallait essayer de combattre cela et surtout ne pas reculer. J’espère que tu vas réussir à te débarrasser de ceux-ci, je comprends assez ce que tu vis... Oui, je voyais déjà un médecin pour m’aider avec quelques problèmes déjà. J’espère que celui-ci va l’aider, encore et encore à tenir le coup. Faudrais surtout pas qu’il passe à l’acte. Car cela n'était jamais la solution à faire, cela empire même les événements. Oui, cela était normal d’avoir besoin d’aide mais parfois, j’avais assez honte. Je le regarde longuement et je souris légèrement. Je vois déjà un médecin, mais je ne lui à jamais vraiment parlé de ce problème. Mais oui ta raison, je dois demander quand j’ai besoin d’aide aux bonnes personnes. Mais je n’aime pas trop, me confier non plus j’aime bien m’arranger seul ou du moins essayer. Voilà mon problème en faite j’aimais mon ex, je réussissais à lui montrer de tout les moyens possibles. Cela fonctionnait, mais voilà ses ces moments au lit qui ne fonctionne pas et elle n'aimait pas cela voilà... Je viens soudainement, me remettre à genoux au sol et je baisse le regard. Voilà cela recommençait. Je devais me calmer cette fois, je regarde autour de moi. J’aimerais bien d’un coup aller dans la maison de celui-ci, je ne sais pas pourquoi. Peut-être pour comparer à la mienne et voir, ce qui avait en commun avec moi. Dit on peut s’éloigner un peu de ce parc ? Je me relève pour ensuite marcher, je me ressentais pas trop bien d’un coup. J’avais vraiment besoin de la présence, de ma sœur et mon frère dans mes bras d’un coup. Cela me ferait le plus grand bien, je m’arrête de marcher pour ensuite regarder mon nouvel ami. Je ne voudrais pas m’inviter, mais je pourrais visiter ta maison si tu le veux bien ? Je me demandais bien ce qu’il allait dire après, je ne voudrais pas le forcer. Je regarde un moment le ciel pour ensuite, regarder longuement les édifices au loin. Je les trouvais assez impressionnants et vraiment énormes.
Posté Dim 10 Nov - 22:34

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James A. Garrison ❝ Robots are people too ❞ Administrateur

	= A day like no other in a park Mark & James C’est un peu triste quand on y pense, mais James vient de dévoiler toutes ses cartes. Pour lutter contre les incertitudes, le mal être, il ne connaît aucune autre solution et celles qu’il a proposé à Mark ne fonctionnent même pas pour lui… Elles peuvent quand même servir à quelqu’un d’autre, après tout, il a bien conscience que le mal qui le ronge n’est pas forcément aussi compliqué à vivre pour les autres et que, peu importe le problème de cet homme, il n’a rien à voir avec ce qui dérange James au quotidien. Toujours est-il que maintenant, l’informaticien n’est plus très sûr de ce qu’il peut faire, ni même s’il doit vraiment rester ici et faire en sorte d’entretenir la conversation. Dans sa poche, il sent toujours le poids de l’arme avec laquelle il espérait prendre sa propre vie quelques minutes plus tôt. Il ne sait pas ce qu’il doit en faire maintenant. Est-ce que l’interruption de l’homme signifie que ce n’est que partie remise ou qu’il doit oublier complètement cette idée ? Il n’a pas l’occasion de trouver une réponse avant que son compagnon d’infortune ne soit pris du besoin urgent de bouger, sortant James de sa torpeur. Il se relève quelques secondes après Mark et le suit par réflexe, mais il réalise assez rapidement que ce n’est peut-être pas la bonne chose à faire. Il en est définitivement convaincu quand Mark lui demande de lui faire visiter sa maison. Mal à l’aise, James pince les lèvres et regarde autour de lui, à la recherche d’une façon de fuir sans avoir à s’expliquer. Il ne trouve rien, alors… “Je… Je n’habite pas vraiment dans le coin et je vis dans un appartement, à vrai dire. Avec ma femme.” Mieux vaut tard que jamais, son épouse fait enfin une apparition dans cette conversation et après tout, ce n’est pas exactement un prétexte. Il imagine mal Eden être ravie qu’il ramène un parfait inconnu chez eux. “Je ne suis pas convaincu qu’elle apprécierait de me voir rentrer avec quelqu’un qu’on ne connaît pas.” explique-t-il, juste au cas où le message ne serait pas encore totalement passé. Il se sent un peu coupable et ridicule en même temps. Il ne doit rien à cet homme et pourtant, le laisser alors qu’il semble si clairement en détresse… Pourtant, la plupart des gens n’ont pas de mal à le faire et en ce moment, James ne pense qu’à rentrer chez lui, à se retrouver seul avec ses démons en attendant de savoir quoi faire. “Je suis désolé. J’espère que les choses vont s’arranger pour vous, sincèrement.” souffle-t-il, avant de s’éloigner. Il essaye de ne pas regarder par dessus son épaule après avoir tourné le dos à Mark et plonge les mains dans ses poches. Il a plus urgent à penser pour le moment : qu’est-ce qu’il va faire de ce foutu flingue ?
Posté Mer 13 Nov - 13:39

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Mark Kaczynski Life is amazing so never hide behind it

	A day like no other in a park Je me mords la lèvre à ses paroles, bon très bien alors je n’allais pas venir à cause de sa femme. Je soupire légèrement j’allais donc retourner chez nous, je n’avais plus le choix. Surtout, à cette heure je devais rentrer essayer de me trouver quelques choses à faire. Au moins il espérait du mieux pour moi, je le regarde s’éloigner sans rien dire. Bon très bien, cela terminais drôlement une rencontre. J’avais bien hâte de voir ce qu’il allait se passer, pour la prochaine fois que j’allai le croiser dans la ville. Je me demandai bien ce qui allait en faire de son fusil, bon cela n'était peut-être pas trop de mes affaires. Je regarde longuement devant moi, pour ensuite partir vers chez moi. Après de longues minutes, j’étais enfin arrivé. J’étais vraiment fatigué d’un coup, alors j’allais vers mon lit pour ensuite me coucher sur celui-ci. Je ferme aussitôt les yeux. Je m'endors sur le coup, j’espère que la journée de demain allait être aussi belle que celle-ci là été. Même si elle a été, tout de même spéciale. C’était étrange avoir rencontré un gars, qui me ressemblait au niveau du passé tout de même. (Fini)
Posté Jeu 14 Nov - 6:08

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